« Christian Dagonet, un poète qui colore la vie en pastel. »
La Dépêche du Midi (21/04/2007)
« Habile dans l’art difficile de l’aquarelle, Christian Dagonet exprime avant tout une joie de traduire ce qui, est là, juste devant ses yeux, à portée de son appétit de peindre. La simplicité de ses buts transparait dans ses œuvres et son amour de la mer, de ses lumières changeantes, capricieuses, de ses ciels envoutants, de ses ports grouillants de détails à capter, devient aussi le nôtre grâce à son talent.
Si bien qu’il nous semble possible, à nous aussi, de nous asseoir au bord d’une plage et de faire jaillir aussi facilement un paysage, avec juste le plaisir de le voir naître sous nos yeux.
Cette sensation d’évidence est la reconnaissance d’une qualité due à la maîtrise du traité, aussi bien que du dessin et de la justesse de tons. Quand Christian Dagonet souligne la fluidité de ses nuances d’accents de traits sombres, il procure à ses œuvres une nervosité bien venue.
Ces compositions ont du rythme, de l’élan, ses bateaux comme ses personnages rythment de leurs couleurs ou de leurs graphismes précis, l’harmonie des valeurs et la feuille blanche apparaissant par endroits, donne une transparence et une respiration à l’ensemble. »
Patrice de la Perrière – Univers des Arts (Juin 2001)
« Indescriptible et merveilleux ?
Ce carnet de voyage (Regards sur l’Aveyron) est la vision de toutes les richesses qui s’offrent au voyageur gourmand en découvertes dans la riche région de l’Aveyron . Les très belles aquarelles, les dessins au trait pour représenter les objets et outils ou le détail de personnages, l’agréable texte manuscrit qui accompagne les images, font de ce livre une réussite à la fois artistique, historique et documentaire. Conques, Saint-Geniez, Sylvanès, Laguiole respirent sous le soleil et dans le souffle léger du vent. A déguster. »
Jean-Hubert Levame – Association des Ecrivains Combattants (Mai 2008)
« Les aquarelles de Christian Dagonet semblent surgir d’une brume vaporeuse tant elles apparaissent dans un halo de fluidités et de transparences : c’est comme si l’artiste hésitait à dévoiler le mystère qui émane des paysages qu’il cherche à traduire.
Ses paysages révèlent en effet avec peine leur réalité et se tiennent en deçà d’une trop grande manifestation de leur exactitude, préférant se maintenir à la frontière des apparences, afin d’en préserver tous les secrets. Cette fragilité d’exécution transmet des sensations de légèreté et d’infini qui confèrent aux aquarelles une subtilité émotive particulière. »
Patrice de la Perrière – Univers des Arts (Juin 2005)